Appontage

Vous souvenez-vous de Matthew Yelland? Tenu par Kirk Douglas, ce personnage est le commandant du porte-avion Nimitz, dans le film de fiction Nimitz, retour vers l’enfer.

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À plusieurs reprises dans le film, il doit faire apponter les avions du navire. À un moment, il est un peu angoissé à l’idée que un ou plusieurs avions ne soit pas encore rentrés. Pas qu’ils soient en approche ou en contact radio, mais qu’ils aient tous passé l’étape d’appontage, et que les appareils aient été immobilisés sur la piste et le pilote sorti de lui-même du cockpit. Bref, que tout soit bien allé et soit terminé.

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Parent d’adolescents, il m’arrive de penser à Matthew Yelland, quand un des mes enfants n’est pas encore rentré, n’a pas encore franchi le palier de porte en bonne santé. J’attends alors, moi aussi, la fin du dernier appontage.

Informaticien après tout

Il n’y a pas d’âge pour les diplômes!

Il y a 35 ans, à l’âge de 16 ans, j’ai quitté l’école obligatoire et suis devenu étudiant. Alors que je faisais de la programmation informatique depuis l’âge de 10 ans et que je voulais en faire mon métier, j’ai été aiguillé vers ce qui était alors l’ETLL (actuel CIFOM, école technique des montagnes neuchâteloises) en section électronique. À cette époque, l’informatique n’était pas un métier, pas même une branche principale. Tour mécanique Schaublin 102, huile de coupe, lime, fer à souder et tables de câblage, voilà ce qui nous était proposé en électronique… Après avoir fait un autre CFC et quelques expériences différentes et enrichissantes, j’ai fini par travailler tout de même dans l’informatique qui est devenue un métier officiellement reconnu en Suisse et sanctionné par un certificat fédéral de capacité, que je n’ai donc pas pu faire à l’époque.

Il y a quelques années, j’ai appris que le diplôme était accessible via la validation des acquis de l’expérience (VAE). En passant par l’OCOSP-NE, j’ai pu trouver une volée qui débutait en janvier 2020 dans le canton de Vaud. Cela faisait alors déjà plus de 20 ans que je travaillais dans la branche, de quoi trouver les 30 situations professionnelles nécessaires pour prouver mes compétences.

Après une année de coaching –principalement en vidéoconférence– pour l’élaboration de mon dossier, j’ai remis ledit dossier fin janvier 2021. Je suis passé devant les experts début juin et j’ai reçu mon CFC il y a quelques jours:

Informaticien CFC
Développement d’applications

Alors que mes enfants arrivent à l’âge de faire des choix postscolaires, c’est bien aussi de pouvoir leur montrer que “ce n’est pas forcément pour la vie”, qu’il existe des manières de changer d’avis (mais pas trop souvent quand même!) en cours de route et qu’avec un peu de travail, on peut même arriver à faire un CFC à 50 ans 🙂

L’occasion également d’exprimer mes plus sincères remerciements, dans le désordre et sans préférences, à ma compagne et mes enfants qui ont fait de nombreux week-ends sans moi; à mon employeur SysCo qui a toujours été présent que ce soit pour des conseils, des arrangements d’horaires de travail et autres; à mes collègues qui ont parfois du se remémorer des mandats presque oubliés; à notre accompagnatrice de l’OCOSP-VD, qui a été jusqu’à nous accorder du temps de visioconf depuis son lieu de vacances et à mon binôme avec qui notre groupe de départ est rapidement passé à juste 2 personnes!

Et maintenant, je pense passer à l’étape suivante et aller vers le brevet fédéral. Si vous êtes passé par là, merci de partager votre expérience!

Claude-Inga Barbey ne m’a pas fait rire

Le microcosme de l’humour romand ne bruisse en ce moment que de cette histoire: un sketch de Claude-Inga Barbey qui a fait plus ou moins rire de Genève à Porrentruy.

Je dois avouer qu’elle ne m’a pas fait rire. Ni cette fois, ni les dizaines d’autres fois depuis des décennies. Jamais, sauf erreur, elle ne m’a fait rire. Mais je ne l’ai pas importunée pour autant par internet, je n’étale pas mon avis partout ni l’érige en Vérité Universelle. Je ne la trouve pas drôle, tant pis pour moi, tant pis pour elle.

Je crois savoir qu’elle en fait rire d’autres, et rien que pour cela il faut qu’elle continue. Dans la vie en général, et plus encore dans la période actuelle, qui devient gentiment la norme, il est important pour chacun de rire. Et comme nous ne rions pas, c’est heureux, tous des mêmes choses alors il nous faut des gens avec différents types d’humour. Et si certains ont en beaucoup, pourquoi ne pas le partager avec celles et ceux qui semblent en être carencé-e-s?

Nouvelle vague

Nous voici dans la deuxième vague de la COVID-19[1]Notez que personne ne parle de la seconde vague . Entre les anti-masques, les pro-confinement, il est dur de se faire un chemin et, de là, une idée précise. De plus, je n’ai pas fait, moi, ce cursus en épidémiologie de 3x 6min sur facebook, alors forcément, je ne suis pas un spécialiste…

Toute cette haine, toute cette arrogance, sur les réseaux dits sociaux[2]Jamais un truc aura porté un nom aussi loin de sa signification précise , dans certains médias, dans la rue. Certain.e.s, on le voit, tentent d’exister, voire de se profiler pour une carrière à venir, et pour cela tout est bon, même, et surtout, raconter n’importe quoi tout partout, sans avoir jamais, évidemment, ouvert le moindre livre sur le sujet traité.

Il est loin le monde des années 80 avec leur insouciance, leur soif de progrès et leur mixité, elle, sociale. Chacun se radicalise, souvent même sans le vouloir, sans le remarquer.

Jean-Pierre est un gros con, il croit vraiment que […][3]Remplacez avec tout ce que vous voulez Gasp.

Au milieu de tout ça, l’excellent Alain Mabanckou:

On va dépasser la polarisation (…) si on explique aux gens que nous ne devons plus vivre dans une époque où nous minimisons ce qui nous fédère et exagérons ce qui nous divise.

https://twitter.com/amabanckou/status/1321199281022251008?s=20

Et en même temps, en le lisant, je me dis que c’est vain, trop tard. Chacun se replie sur sa nation, sa région, sa ville, son quartier, sa maison, son cocon…
Même sans COVID, le tableau est bien plein: Trump, la Pologne, l’islamisme radical, le climat, la malbouffe, les guerres picrocholines de la politique locale et j’en passe. On retourne dans le moyen-âge vitesse plein pot, tournant le dos aux Lumières et certains sont heureux du voyage. Quel gâchis.

Je discutais l’autre jour avec un vieux pote habitant un pays voisin. Il me disait qu’il regardait beaucoup de films de science-fiction ces temps. « Moi aussi », lui dis-je. Et de se dire que la vie en ce moment est tellement loin de nos espérances qu’il nous faut des histoires du fond de la galaxie pour se changer les idées.

Interstellar, Ad astra, Solis, Rogue One, rien de très amusant ni optimiste, mais suffisamment loin pour qu’on se laisse déconnecter, au propre comme au figuré, de la doxa d’un moment qui ne fait que durer.

Car oui, cette chère culture, comme disait François Pérusse, est un des quelques moyens de se reposer la tête. J’ignore si Fast and Furious 19 c’est de la culture, j’ai aussi raté le cursus en Analyse et critique des arts et de la culture en trois tweets. Mais ça par exemple:

Ne serait-ce pas l’une des plus belle chanson au monde? Est-ce que ça ne fait pas du bien de s’arrêter trois minutes, fermer les yeux et écouter l’un des nombreux bons titre de Pet sounds?

Pour un peu, j’aurais presque envie de croire en l’humain!

Notes

Notes
1 Notez que personne ne parle de la seconde vague
2 Jamais un truc aura porté un nom aussi loin de sa signification précise
3 Remplacez avec tout ce que vous voulez

« Et toi, comment tu occupes tes journées? »

On l’a un peu tous entendu, celle-là, durant cette crise du coronavirus. Ma réponse est sans appel: « je travaille ».

C’est l’occasion de montrer aux enfants que bien des humains ne voient le monde qu’au travers de leurs propres yeux: si moi je ne travaille pas, personne ne travaille. Ce syndrome de déformation de la réalité a une source ma foi bien connue: l’égocentrisme. Seule leur vision est la bonne, seul leur avis compte, leur expérience est la plus grande et la meilleure, et ainsi de suite ad nauseam.

C’est ce qui en fait, en 3 secondes, des experts en pandémie, en politique, en budget public, en mécanique automobile, en informatique, etc.

Si c’est un sentiment au départ bien humain –on sait notamment que les bébés pensent, sans y penser, être le centre du monde– il est de mise, ensuite, pour une grande partie d’entre nous, que ce sentiment s’en aille et fasse place à des formes d’altruisme et d’empathie plus ou moins développées.

Et si on peut toujours trouver d’indécrottables égoïstes vindicatifs au café du commerce et sur facebook notamment, ils sont relativement[1]mon côté optimiste n’est pas tout à fait mort peu nombreux. Mais on a tous une part d’égocentrisme inconscient et placide, celle qui nous préoccupe ici et dont il est un combat constant que d’essayer de s’en détacher, à condition de la conscientiser.

Apprendre à voir le monde au travers des yeux des autres est un cheminement qui, s’il n’est pas naturel, est néanmoins salutaire quelque soient vos opinions. Cela n’implique pas que nous partagions les opinions des autres, mais juste que nous tenions compte non seulement de leurs opinions, mais aussi de leurs réalités. Vendeurs ou enseignants, policiers ou politiciens, grands patrons ou ouvriers. C’est aussi ça, la solidarité, non?

Notes

Notes
1 mon côté optimiste n’est pas tout à fait mort

Le monde de demain…

… quoi qu’il advienne nous appartient, chantaient les NTM. Et c’est toujours vrai. Mais qu’est-ce que nous voulons dans le monde de demain? Je lisais hier, je cite de mémoire:

Gérard Depardieu est en ce moment assez remonté contre le président de la République Emmanuel Macron

Non, mais vraiment, qui cela intéresse-t-il? La mégalomanie de certains membres d’une élite largement auto-proclamée doit-elle automatiquement trouver, en face, l’avidité des masses pour les nouvelles people et leurs cortèges de vérités forfanteries ?

On a beaucoup critiqué, non sans raison, les réseaux sociaux et voici que la presse se transforme en interface entre ces réseaux sociaux et leur lectorat. Plus d’enquête, plus d’avis, juste des copier/coller de Facebook vers le journal. Ça sent le sapin car tôt ou tard, les gens vont voir qu’ils peuvent avoir les vérités quotidiennes de Gégé en direct, sur le grand ternet, sans passer par la case presse.

On a aussi celles et ceux qui gloussent sur Insta, trouvant normal de nous montrer leur vie fantasmée, érigée en exemple pour nous autre, pauvres gens abrutis, incapables de reconnaître le bien du mal, le bon du mauvais. Ils définissent le beau, le drôle et le chic. Foutaises! À chacun son beau, à chacun son drôle, c’est ça le vrai chic!

Ailleurs, ce sont d’aimables professeurs retraités qui passent du côté sombre en invectivant un peu tout le monde, via Twitter, du haut de leur tour d’ivoire qui se délite. Tenants d’un ancien monde, leur ancien monde, où certains voyaient en eux des phares, ils ne sont plus que de piteuses boussoles qui indiquent le sud. Qui donc peut-il être intéressé par les avis rageurs de ces aigris? Le monde de demain n’a pas besoin de leurs vociférations, qu’on les laisse donc en paix, ouste!

Si la crise du coronavirus peut servir, outre pour l’écologie ou le consommer local (Mais pour ces deux, j’ai malheureusement bien peu d’espoir, hélas), ce pourrait être de faire table rase de toute une cohorte de penseurs qui ne pensent à pas grand-chose sauf à eux-même. Politiciens, artistes, youtubeur ou instagrameuse, philosophe ou héros, dévissons gentiment les piédestaux. Il est vrai que notre déférence à leur égard pendant des décennies les a conforté dans ce rôle. Mais il est grand temps de nous émanciper. Au revoir! Adieu!

Télé 3.0

Il y a plus de 13 ans, je passais à la télévision 2.0, ce fût un sacré pas.

Aujourd’hui, j’ai arrêté notre abonnement et on va rendre la box TV. Alors, oui, notre opérateur a, de mon point de vue, complètement raté le virage du streaming: il a proposé, timidement, principalement en allemand, des programmes en streaming au forfait il y a quelques années et depuis son offre s’amenuise de mois en mois. Parallèlement, son offre en pay-per-view s’agrandit: on voit bien où ils vont.

En même temps, nos habitudes ont changé: plus personne dans la famille ne regarde la télé en direct depuis longtemps et, depuis notre abonnement à un grand nom du streaming[1]C’est d’ailleurs notre opérateur TV qui nous a poussé dans les bras de cette société américaine en ne tenant pas ses promesses en termes de programmes en streaming et l’ajout d’un NAS où sont stockés tous nos DVDs, on ne regarde presque plus le replay télé.

Reste qu’on va continuer à profiter des programmes de la RTS et d’arte principalement, via le replay sur leurs sites respectifs ainsi que leurs apps sur iPad. Et on va continuer à avoir une vie ailleurs que devant les écrans qui, on le voit bien de nos jours, finissent par nous enfermer quand on consomme de trop.

On perd France Télévisions, dont le replay n’est disponible qu’en France. Oui, on pourrait se prendre un VPN pour avoir une IP en France mais à quoi bon, quand les bons programmes (films, séries et documentaires) finissent souvent par arriver ailleurs ?

On en a profité pour stopper l’abonnement de téléphone fixe, autre vestige d’un temps, chez nous à tout le moins, révolu.

E la nave va

Notes

Notes
1 C’est d’ailleurs notre opérateur TV qui nous a poussé dans les bras de cette société américaine en ne tenant pas ses promesses en termes de programmes en streaming

Sport!

Après des séances de découverte puis d’initiation depuis l’automne dernier, j’ai finalement rejoint officiellement un club sportif. Qui l’eût cru?!

Je me suis déjà blessé au bras gauche, au nez et j’ai parfois mal aux doigts de la main droite. Mais non, je ne fais pas de la boxe!

Je me suis mis au tir à l’arc. Un vieux rêve. Comme quoi il faut toujours les garder dans un coin!

Une fois où j’étais en forme, à 12.5m

Merci donc aux membres du club de m’avoir appris les bases et plus avec un recurve. Je compte bien m’améliorer cette année, je vous redonnerai des nouvelles. Je vais aussi aller me choisir un arc dans un super magasin, mais pas avant la fin de la saison de ski 😃

En série…

Il est un bien culturel autrefois vilipendé qui a acquis une certaine noblesse récemment, que ce soit de la part du public et des critiques: la série télé.

Continuité des histoires, profondeur des personnages, on est maintenant assez loin de, mettons, Cosmos 1999 ou des 5 dernières minutes.

Cela dit, la série qui trône sur la plus haute marche de mon podium est plus vieille que moi: Le Prisonnier. Je dois au moins cela aux frères Bogdanoff, d’avoir permis à ma génération de (re)découvrir cette série extra-ordinaire, dans tous les sens du terme. Ce fût pour moi la découverte d’une certaine forme de liberté, du pouvoir et des effets de sa concentration en quelques individus. Je suis un individualiste, au sens de Rousseau et de Descartes, et je le dois pour partie au Prisonnier.

Ensuite, les Bogdanoff nous ont montré La Quatrième Dimension et ça s’est mis, aussi, eh oui, sur la première marche de mon podium. Qui n’en avait d’ailleurs qu’une seule! Avec notamment son sens de la chute, cette série m’a donné bien des claques. Le rapport aux temps (l’épisode du gars qui fait du train et fini par se rendre compte qu’il est dans une maquette qui fait toujours le même tour!), le rapport aux autres (l’épisode du gars qui aime bien lire seul qui finit par être le seul survivant d’une guerre atomique et, devant tout ce temps pour lire, casse ses lunettes), bref, du tout grand art. Et une bonne manière de retourner, chaque semaine, le cerveau!

Ensuite, j’ai mangé des séries sans retrouver cette sensation. Starsky & Hutch, Magnum, Alf, X-Files, Sex & the City, House M.D., etc. De bons divertissements, mais pas plus.

Jusqu’au jour où… Sur la deuxième marche de mon podium[1]Oui, j’agrandis, je bricole, Breaking Bad. Cette série réunit, à mon goût, plusieurs points: l’histoire tout d’abord est réellement originale. Le traitement est tiré au cordeau, la photo est superbe et, plus que tout, il n’y a pas de héros, au sens mythologique. De plus, la série a une vraie fin. Sublime, forcément sublime.

© AMC

Enfin, tout récemment, une série française a trouvé le chemin de mon podium, sur la 3e marche donc. Souvent maladroites, les séries françaises, notamment policières, n’ont pas trouvé grâce à mes yeux. Jusqu’au Bureau des légendes, donc. Un réalisme effréné, une ambiance étouffante et, pourtant, une humanité authentique, avec ses nos bons et ses nos mauvais côtés. Magnifique.

© Canal+

Espérons maintenant que le cinéma se réveille et arrête de nous pondre des Fast & furious 27 ou Iron Man 12. Ou alors on va regarder nos séries en salle ?

Notes

Notes
1 Oui, j’agrandis, je bricole

Transferts, synchronisations et sauvegardes du dimanche

Quand on est informaticien et qu’on a compagne et enfants, tous utilisateurs de nombreux joujoux informatiques, la place de chef IT[1]technologie de l’information, tout ce qui concerne l’informatique, quoi. familial nous échoit.

Je fais sans doute plus attention à tout cela que certains responsables IT au sein de PME. Voici un de mes secrets: la mission du dimanche soir:

Ma compagne et moi avons chacun un ordinateur, un téléphone et une tablette. Chacun des enfants a une tablette. Les films et photos de famille doivent aller dans les deux ordinateurs et dans les quatre tablettes (automatiquement, uniquement les fichiers des 3 derniers mois). Les téléphones et tablettes doivent être sauvegardés dans les ordinateurs. Les ordinateurs doivent être sauvegardés vers un disque externe. Il faut donc faire certaines tâches dans un certain ordre.

  1. Transfert de toutes les photos (appareils photos, téléphones, etc) vers mon ordinateur et celui de madame.
  2. Synchronisation et sauvegarde des téléphones et tablettes vers les ordinateurs[2]tout ce qui est à madame sur le sien, le reste sur le mien.
  3. Sauvegarde des deux ordinateurs vers un disque réseau.

À la fin, on a donc toutes les données à au moins deux endroits et tout le monde peut voir les photos du week-end sur sa tablette.

Notes

Notes
1 technologie de l’information, tout ce qui concerne l’informatique, quoi.
2 tout ce qui est à madame sur le sien, le reste sur le mien
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