Voilà déjà près d’un an qu’il est décédé. Marcel Gotlib, avec Coluche, Desproges et Pérusse, avait aiguisé ma curiosité, mon sens de l’humour et mon rapport aux autres et à la vie en général.
Mais il avait aussi redéfini l’espace même de présentation de son art, la page de BD:
Ses pages sur le pélican, le fou de Bassan, les misérables ou encore les grands moments historiques de la farce restent à jamais gravés dans mon esprit malade. Isaac Newton a pour moi définitivement les traits qui lui prête Gotlib.
Un petit souvenir : une interview de Gotlib sur TV5